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Anish Kapoor, merde de ciment, expose au Guggenheim

Guggenheim Bilbao

Même si la carcasse-enveloppe  est destinée à t’appartenir, je sens le parfum de la liberté venir me voir.

Aún si el cuerpo-envoltura esta destinado a pertenecerte, siento el perfume de la libertad venir a verme.

Musée Guggenheim. Bilbao. © garoli

La matière tactile profite du jeu sur le volume, le concept du vide et la merde en ciment; le tout présenté grâce aux  installations de Anish Kapoor. Artiste né à Bombay (Inde) en 1954, Anish expose au Musée Guggenheim Bilbao jusqu’au 12 octobre 2010.

El material táctil aprovecha el juego del volumen, el concepto del vacío y la mierda de cemento; todo presentado gracias a las instalaciones de Anish Kapoor. Artista nacido en Bombay (India) en 1954, Anish expone en el museo de Guggenheim Bilbao hasta el 12 de octubre de 2010.

Greyman pleure, shaman meurt, volutes de fumée, beauté évoquée (Greyman Cries, Shaman Dies, Billowing Smoke, Beauty Evoked), 2008-09 Ciment, 48 parties Dimensions totales variables Courtoisie de l’artiste Installation : Royal Academy of Arts, Londres, 2009 Photo : Erika Ede © FMGB Guggenheim Bilbao Museoa, 2010

Matériaux hautement réfléchissants, Œil pour Œil, amour pour amour dans un corps à corps entre cire et ciment ou un tête à tête immatériel noyé dans des reflets, produisent une déformation de la réalité et des expériences uniques. Formes entropiques en ciment, je prends un verre sur la piscine au 3ème étage d’un grand hôtel de grand luxe pendant que mes robots font de la merde en ciment, et le tout pour rien, pas de réflexion, seulement de la production de volutes de fumée; c’est l’industrie d’une nouvelle beauté, les ciments de merde serviront à quelque chose.

Anish Kapoor du 16 mars au 12 octobre 2010, au Musée Guggenheim Bilbao.

Materiales altamente reflejantes, ojo por ojo, amor por amor en un cuerpo a cuerpo entre parafina y cemento, o un cara a cara inmaterial ahogado en los reflejos que producen una deformación de la realidad y experiencias únicas. Formas entrópicas de cemento. Tomo un vaso en la alberca del tercer piso de un gran hotel de lujo mientras mis robots hacen mierda de cemento, y el todo por nada, sin reflexión, solamente la producción de espirales enfumadas; es la industria de una nueva belleza, los cimentos de mierda serviran para algo.

Anish Kapoor del 16 al 12 de octubre 2010, en el museo Guggenheim Bilbao.



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