La première marche, la deuxième et ainsi jusqu’à la dernière, je me retrouve devant cette entrée qui me permettra de voyager au dessus du panorama artistique du monde contemporain. Apercevoir les futures propositions artistiques dans les expos à venir, jeter un coup d’œil aux musées des futures années et surtout me promener à l’intérieur de plusieurs galeries venues du monde entier. Je fais le pas, je rentre, et je vois :
El primer escalón, el segundo y así hasta el último, me encuentro frente a la entrada que me permitirá viajar sobre el panorama artístico del mundo contemporáneo. Ver las futuras proposiciones artísticas en las exposiciones venideras, echar un ojo a los museos de futuros años y sobretodo pasearme al interior de varias galerias del mundo entero. Hago el paso, entro, y veo :
« L’une des caractéristiques les plus apparentes du rapport que le public entretient avec l’art contemporain est la question, toujours posée, de sa valeur économique. De son prix. S’il est admis, en effet, que les œuvres du passé peuvent bien atteindre des sommes considérables – le vieux est toujours « plus » cher, comme pour les meubles dits « d’époque » -, les prix du contemporain semblent faramineux, exagérés. On parle alors de spéculation, de valeur refuge, de marché fictif. On accuse les « gros » marchands, les galeries, les boursicoteurs de tout poil. Les œuvres, et c’est bien là un paradoxe mal ressenti, sont de plus en plus nombreuses, les musées, les galeries croissent et se multiplient, et l’art n’a jamais été plus éloigné de son public ». (CAUQUELIN, Anne. 1992)
« Una de las características más remarcables de la relación que el público tiene con el arte contemporáneo es la pregunta, siempre hecha, de su valor económico. De su precio. Si está aceptado, en efecto, que las obras del pasado puedan alcanzar sumas considerables – el viejo es siempre « más » caro, como por los muebles dichos de « época » -, los precios del contemporáneo parecen asombrosos, exagerados. Entonces hablamos de especulación, de valor refugio, de mercado ficticio. Acusamos los « grandes » mercanderes, las galerías, los apostadores de todo tipo. Las obras, y ahí tenemos la paradoja mal sentida, y son cada vez más numerosos, los museos, las galerías crecen y se multiplican, y el arte no ha estado nunca tan alejado de su público » (CAUQUELIN, Anne. 1992)