En mi sueño he de perder las muelas intermedias con las que se mastica la masa corporal del otro. No han servido sobre el mantel a cuadros, tu piel caliente de año nuevo, húmeda época, aclamada por mis dactilares uñas de jaguar en una burbuja de aire que se eleva para llegar a la superficie donde ya no hay nada, se respira cierta frescura.
Dans mon rêve, j’ai perdu les molaires intermédiaires avec lesquels on mâche la masse corporelle de l’autre. Ils n’ont pas servi sur la nappe à carreaux votre peau de nouvel an, époque humide, acclamée par mes empreintes des ongles de jaguar dans une bulle d’air qui monte pour atteindre la surface où il n’y a rien, on respire un peu de fraîcheur.
