Air de nous, mes chaussures me réclament de l’amour en temps de sécheresse.
Aire nuestro, mis zapatos me reclaman amor en tiempos de sequía.

Connecté sans le chercher, sans le savoir, tu respires ma stupeur, larme sans nom, t’es bien rentrée dans mes chaussettes. Marchons ensemble, quoi d’autre nous reste ?
Conectado sin buscarlo, sin saberlo, respiras mi estupor, lágrima sin nombre, has entrado bien en mis calcetines. Caminemos juntos, que más nos queda ?

“Back to basics”, être ou ne pas l’avoir été, ton souvenir respire mes mots et tes mains sculptent mes lèvres. Paroles que le pavé de Monmartre gardera dans la couture Miyake, celle qui montre le corps rebellé sans jamais couper les coins de la bouche.
« Back to basics », ser o no lo haber estado, tu recuerdo respira mis palabras y mis manos escultan mis labios. Palabras que el pavimento de Monmartre guardará en la costura de Miyake, aquella que muestra el cuerpo rebelde sin jamás cortar las orillas de la boca.

L’eau promène mes deux paires de chaussures que j’aime autant et juste à côté des vignes je fais une trouvaille, en ailes de feuille sèche, une galerie d’art. Tu prends la photo et moi, je me perd dans la foule de fourmis, les bestioles à six pieds n’arrêtent pas de compiler l’air évolué.
El agua pasea mis dos pares de zapatos que tanto amo, y a ladito de los viñedos hago un descubrimiento, en alas de hoja seca, una galería de arte. Tu tomas la foto y yo, yo me pierdo en la multitud de hormigas, los insectos a seis patas no paran de compilar el aire evolucionado.

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Dans le café, le son des djambés touchent le sucre de canne de tes îles de rêve, écoute le rythme de l’air évolution, sourire d’art évolution.
En el café, el sonido de los djambés tocan el azucar de la caña de tus islas de sueño, escucha el ritmo del aire evolución, sonrisa de art evolución.


Menhir de ma pyramide, Obelix anime le Louvre chez Asterix.
Menhir de mi pirámide, Obelix anima el Louvre en el pais de Asterix.
