30 novembre 2016 – 24 avril 2017
Gallerie 1 du Centre Pompidou à Paris
Galería 1 del centro Pompidou à Paris
« Chaque ligne est une expérience avec sa propre histoire innée. Elle n’illustre pas, elle est la sensation de sa propre réalisation. L’imagerie est d’une indulgence privée ou séparée, plutôt qu’une abstraite totalité de la perception visuelle. »
Cy Twombly
« Cada línea es una experiencia con su propia historia inata. No ilustra, es la sensación de su propia realisación. Imágenes de una indulgencia privada o separada, mas que una totalidad abstracta de la percepción visual. »
Cy Twombly
Twombly, shoot me, shoot la toile, trace de l’héritage de l’expressionnisme abstrait américain et les origines de la culture méditerranéenne.
Twombly, dispárame, tira sobre el lienzo, trazos de la herencia del expresionismo abstracto americano y los orígenes de la cultura mediterranea.
« Une première rétrospective complète de l’œuvre de l’artiste américain Cy Twombly est construite autour de trois grands cycles : Nine Discourses on Commodus (1963), Fifty Days at Iliam (1978) et Coronation of Sesostris (2000). L’exposition retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste à travers un parcours de cent quarante peintures, sculptures, dessins et photographies »
J’ai trouvé un article qui me paraît pertinent de lire si vous souhaitez comprendre plus sur l’expo et sur l’artiste, c’est par ici >>
Ces toiles (quasiment les plus connues) sont celles surtout des débuts de l’artiste américain, dans les années 50, quand il sort à peine de l’université libre et communautaire du Black Mountain College, où il s’agit pour ses camarades, Rauschenberg notamment, de faire œuvre en effaçant et en faisant silence (John Cage en était aussi). Du coup, la couleur, Twombly s’en passe, préférant faire pleuvoir un crachin aux hachures grises. On dirait que le jeune homme, né en 1928, bredouille, qu’il cherche une piste, tout en jetant, confusément, les marques d’un style. >Liberation>